• Un autre monde ?
    Qui ne serait pas celui que nous arpentons avec nos problèmes
    Nos peurs, nos désirs jamais satisfaits ?
     
    Ces moments où tout s’arrête
    Où l’air s’immobilise
    Où l’arbre, la feuille, la montagne, oui, tout communique
    Rien n’a véritablement changé
    Seulement qu’en soi cela s'est apaisé.

    Des pensées surviennent, elles passent
    Rien pour les accrocher, des évidences
    Le vide n’est pas
    La séparation n'est pas
    Une tendresse infinie comme un chant s’élève là.

     

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  • Rester devant ce que l’on ne comprend pas
    Rester dans cette concentration
    Se laisser étirer par cette chose inconnue.

     

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  • Les astres dans le ciel ne sont pas séparés
    Ils tomberaient si non en un flop magistral
    (Sourire…

    Quand même
    Aussi simple que ça !


    Un sourire au monde qui murmure
    Ce que les oreilles n’entendent pas
    Ce que les yeux ne voient pas
    Que le corps chante doucement.

     

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  • Ne pas étouffer
    Juste laisser se murmurer
    Le coin des lèvres se trousser
    Et les rides soleil s’éclairer
    Aller tranquille dans ce matin si doux.

     

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  • En ce ciel vacuité, limpide, cristallin
    L’océan resplendissait, bleu outremer
    Et dans le calme qui l’habitait en clapotis légers
    On pouvait l’observer dans son infinité.

    Comme si l’œil pouvait loin, très loin, se projeter
    Dans cette fine couche où l’air et l’eau se rencontrent
    La ligne d’horizon ne se confondait ni avec l’un, ni avec l’autre
    Lumière !

    Les baleines étaient là, c’est sûr
    En ces eaux profondes
    Inutile de les chercher du regard, elles y étaient
    De passage, en cette beauté éclatante.

    Pas un souffle, pas un bruissement, seul le soleil vibrait l’air
    Le grand astre est vibration ! Et là, c’était perceptible
    Comme l’était la communion de toutes choses
    La feuille avec le ciel, et même le ruban de goudron
    Et même les autos, et tous ceux qui ne le savaient pas.

     

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  • Pas de nom... alors ils ont dit l'innommable...
    Limitant d'autant nos langages
    Les limitant jusqu'à l'absurde.

     


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