•  

    Au nom de quoi ?

     

    Ce n'est pas la vérité qui est recherchée

    Le problème a déjà sa réponse

    Il s'agit d'en faire la démonstration.

     

    La logique, autant que faire se peut

    Être habile à manier les arguments

    Mais finalement, c'est à celui qui parle le plus fort

    Une question d'ascendant.

     

    Incrédule !

     

    Une action a été menée

    On sait très bien laquelle

    Il s'agit tout simplement

    De désamorcer les "réactions"

    Pouvoir continuer à manipuler

    Les foules, le peuple.

     

    Une vraie machine de guerre

    Tout est permis, absolument tout

    La raison d'état dans la tête des braves gens.

     

    Le crime a été commis

    Contre l'humanité

    Avec préméditation

    Au nom de la raison.

     

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  • Tout changement de niveau vibratoire

    Se communique de points en points

    Le mental demandera des explications

    « Qu’est-ce donc qu’un niveau vibratoire ? »

     

    C’est à tord, qu’on refuserait  la question

    L’être tout entier est convoqué au changement.

     

    Qui va répondre à la question  ?

    Le mental peut-il cela ?

    Être le questionneur et ce qui apporte la réponse ?

    Je dis que Non

    Si la question est sincère

    Le mental est "ce qui ne sait pas".

     

    La juste réponse, à la question

    « Qu’est-ce donc qu’un niveau vibratoire ? »

    Ne peut venir que du silence, là où le mental se tait.

    Dépassé et englobé par le processus de la question

    L’être tout entier écoute

    La réponse vient alors d’un autre point, en résonance.

     

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  • Le plancher est toujours plus pourri

    Marées noires, forêts incendiées

    Océan bouleversé

    Terre empoisonnée, et tous les corps bien sûrs !

     

    Se déplacer sur ce plancher, c'est vaciller

    Tituber, il n'y a plus que les apparences

    Et les arrogances

    Des mots jetés à l'assaut du ciel.

     

    Le plancher va céder

    Par grappes, dans le vide des croyances

    Ne pouvant voir que de vide il n'y a pas

    Ou encore que tout est vide vibrant.

     

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  • La mémoire du monde ce n'est pas
    Bien entendu
    Les souvenirs des uns, les souvenirs des autres

    En tellement de peurs et de regrets.

     

    Sur le fil de ses souvenirs le funambule danse

    Il s'élance, reprend appui

    Juste un instant

    Et le voici dans un équilibre parfait.

     

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  • Le témoin ?

    Vision à 360°

    Dans toutes les directions

    Voir, voir

    Il n'y a que ça.

     

    Interroger le témoin ?

    "Que vois-tu ?"

    C'est si délicat !

     

    Le témoin ne s'exprime

    Que dans un dialogue intime

    Où l'idée de l'autre n'est pas

    Où le moindre mouvement

    En ce sens, le fait muet.

     

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  • La matière est toujours divisible en unités indépendantes et pourtant liées, des unités toujours plus petites. Voilà ce que découvrent les scientifiques.

    Après avoir cru qu'ils avaient trouvé la brique fondamentale (ils dirent l'atome constitué de protons, de neutrons et électrons), d'une manière expérimentale et théorique ils ont découverts de nouvelles particules, toujours plus de particules.

    L'infiniment petit, dans lequel prend sa source l'énergie "bienfaitrice" du soleil par exemple, remet en cause l'idée selon laquelle l'univers est né d'une association d'unités de matières indestructibles. Il n'y a pas d'unité de matière fondamentale, l'univers n'est pas un mur de briques, quelque soit le dessin que dessine ce mur dans le vide.

     

    Ou que notre regard se pose, (le regard du penseur séparé de son objet d'observation), l’honnêteté intellectuelle nous oblige à voir quelque chose que la raison n'aime pas. Quelque chose d’intensément dynamique, où la forme est insaisissable, où le sens ne peut être ni donné, ni repris, où le sens ne dépend pas de la forme visible.

     

    L'univers ne cesse de se construire et de déconstruire, il est expansion et contraction en même temps.

    Pas besoin d'être calé en physique en mathématiques pour voir cela, partout dans la nature cet ordre parfait se révèle. Un ordre qui ne cesse de se créer par l'interaction de tous points (infiniment petits, infiniment grands).

     

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  • Plus une personne faisant fi des interdits

    Fréquente les chemins cachés

    Plus sa part d'ombre est dense

    Comme si une décantation s'effectuait

    Ombre et lumière séparées

    Comme dans l'histoire de la création.

     

    Séparées, distinctes, présentes l'une à l'autre

    S'organisant dans le Tao...

     

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